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Merci, là j’ai du rose en stock, à commencer par Gymnocalycium bruchii:

Et bien sûr Echinocereus coccineus:

Et les rouges ne sont pas en reste:


Le vert non plus, avec les étranges discrètes fleurs d’Echinocereus viridiflorus:

Niveau discrétion celles de Mammillaria heyderii valent leur pesant:

J’allais oublier les trompettes écarlates d’Echinocereus triglochidiatus:

De la flotte à gogo en cette saison des pluies printanière, ici les E.coccineus:

Là les E.triglochiatus, mes plants mères:

Qui ont engendré mes hybrides maison d’E.triglochidiatus:

En effet : elles ont bien profité.

Et les coudes, on les met où ?

C'est vraiment impressionant

Très joli ! Il est rare qu'on ait d'aussi beaux Echinocereus sur la Côte d'Azur.
Souvent, les plantes qui fleurissent sont attaquées par un champignon qui pénètre par les cicatrices florales.

Quel beau balcon ! Nos yeux se régalent

Merci pour vos commentaires
Ça me rassure car je les trouvais étiolés, ils n’ont guère de soleil qu’entre 11h et 15h, aux heures les plus fortes certes mais le port est différent de ce qu’il était en front de lac orienté plus au sud: ils ont cessé de rejeter et les tiges s’allongent…
Cette situation à mi-ombre n’ayant d’incidence que sur les tiges et pas sur la floraison, je ne me plains pas
Aujourd’hui une de mes plantes fétiches, un Echinocereus coccineus inerme, dixit Hans Boon qui me le vendit en mains propres:


La saison des fleurs touche à sa fin chez les Triglochidiata, qui ne sont hélas pas remontants sinon on en vendrait en supermarchés tant ils ont d’autre qualités :

Mes plantes étant très abritées, elles ne souffrent pas de cette pourriture printanière ici, mais il est certain qu’hors abris ce serait une hécatombe…

Ça cartonne chez toi Guillaume, la première photo du 20 mai est impressionnante

À Agde les oponces en pincent pour leur nouveau lieu de vie:

Pas de fleurs par contre, tout le monde est affairé à produire ses racines et ses articles, comme si elles avaient peur de manquer
Les Pterocactus, en revanche, ne montrent aucun signe tangible de vie comme s’ils regrettaient le climat continental…

Finalement il se passe un peu plus de choses à Annecy, où s’épanouit une dernière fleur d’Echinocereus coccineus à la gorge très claire, presque jaune:

À propos de cette espèce que j’affectionne, il ne fait guère de doute que cet individu acquis il y a deux ans sera bien albinos au vu de la blancheur de ses épines apicales dépourvues de toute pigmentation:

J’attends toujours sa première fleur…
Les cousins Echinocereus triglochidiatus conservent bien mieux leurs fruits en formation, les baies sont solidement fixées aux tiges:

Un Sulcorebutia, sans doute tarabucoensis, vient avec sa fleur d’un lumineux grenat illuminer cette sinistre saison humide: