Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Bonjour !
Je vous présente enfin les couvertures de mon prochain ouvrage à paraître : Taxonomie des Cactaceae, en deux volumes, 1400 pages, +7000 photos ; 177 genres reconnus et + 2360 espèces et sous-espèces.
Premier livre français sur les cactées aussi complet, basé entre autres sur l'ADN, présentant plantes dans l'habitat et en collection, intérieur ou extérieur, fleurs, fruits, graines, pollinisateurs et disperseurs, cartes de distribution, étymologie illustrée, glossaire, bibliographie, etc. voir le visuel joint après les couvertures des deux tomes.
Il est disponible dès maintenant en pré-souscription (ou pré-vente) à un prix très attractif, jusqu'au 28 février 2015.
Il a nécessité plus de 6 ans de travail et de recherches, et présente pratiquement toutes les espèces, sous-espèces (et même variétés) de cactées reconnues.
Vous trouverez toutes les informations et détail uniquement sur mon site : cactus-aventures.com
Toutes les questions (dont les réponses ne sont pas sur la page web !) sont bienvenues !
Cordialement,
Joël Lodé
cactus-aventures.com
Je vous présente enfin les couvertures de mon prochain ouvrage à paraître : Taxonomie des Cactaceae, en deux volumes, 1400 pages, +7000 photos ; 177 genres reconnus et + 2360 espèces et sous-espèces.
Premier livre français sur les cactées aussi complet, basé entre autres sur l'ADN, présentant plantes dans l'habitat et en collection, intérieur ou extérieur, fleurs, fruits, graines, pollinisateurs et disperseurs, cartes de distribution, étymologie illustrée, glossaire, bibliographie, etc. voir le visuel joint après les couvertures des deux tomes.
Il est disponible dès maintenant en pré-souscription (ou pré-vente) à un prix très attractif, jusqu'au 28 février 2015.
Il a nécessité plus de 6 ans de travail et de recherches, et présente pratiquement toutes les espèces, sous-espèces (et même variétés) de cactées reconnues.
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Cordialement,
Joël Lodé
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- Fichiers joints
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- Flyer Taxonomie des Cactaceae1.jpg (98.27 Kio) Vu 135 fois
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Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Sans nul doute, magnifique.
Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
La Bible des cactophiles. Mais aussi de splendides photos et une mine d'anecdotes passionnantes et savoureuses pour faire passer la pilule de la taxonomie, pas toujours facile à digérer! 

Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Alors là, je dis oui!
Un grand merci Joel pour ce travail immense et un résultat pour une fois en français (on n'a pas vu ça depuis des décénies).
(tu)(tu)(tu):)
Un grand merci Joel pour ce travail immense et un résultat pour une fois en français (on n'a pas vu ça depuis des décénies).

Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Un très bel ouvrage assurément
avec un petit regret cependant : la couverture du volume 1 aurait été plus parlante avec une aussi belle photo de cactée que celle du volume 2.

Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Bonsoir Yvan,
merci pour ton appréciation, désolé pour ton petit regret, je ne l'avais même pas imaginé !
En fait, les couvertures ont été mûrement choisies, et représentent l'essence même des cactus qui existent grâce aux animaux pollinisateurs (le colibri) et disperseurs (George, la tortue des Galapagos morte en 2012, avec en toile de fond Jasminocereus thouarsii et Opuntia galapageia).
Des belles images, il y en a tout au long du livre, et pour ma part, celle-ci m'impressionne et m'interpelle sur la vie des cactées, et les animaux qui les entourent, qui ont autant d'importance. Le but était moins commercial que didactique et comme je l'ai dit sur le forum de cactuspro :
Pour la petite histoire, pour bien repérer le tome 1 (A-L) du tome 2 (M-Z), j'ai choisi la photo d'un disperseur de graines de cactus (Jasminocereus entre autres), la Tortue des Galapagos (photo Wilhem Barthlott), soit le côté primitif de la chose pour le premier tome.
Pour le tome 2, j'ai privilégié la modernité, avec un genre de cactus récent, issu de l'évolution réticulée, Pierrebraunia, pollinisé par un colibri (photo Eddie Esteves Pereira).
Et je trouve cette image admirable, avec un petit côté préhistorique qui me plait bien.
Bien sûr, ni les couvertures, ni le contenu ne pourront plaire à tout le monde, mais le plus important est qu'avec ce matériel très complet, vous puissiez identifier et classer vos plantes plus aisément, et surtout, en connaissance de cause, ce que l'on avait jamais fait auparavant. Alors là, je serai vraiment heureux !
Bonne soirée !
Joël Lodé
cactus-aventures.com
merci pour ton appréciation, désolé pour ton petit regret, je ne l'avais même pas imaginé !
En fait, les couvertures ont été mûrement choisies, et représentent l'essence même des cactus qui existent grâce aux animaux pollinisateurs (le colibri) et disperseurs (George, la tortue des Galapagos morte en 2012, avec en toile de fond Jasminocereus thouarsii et Opuntia galapageia).
Des belles images, il y en a tout au long du livre, et pour ma part, celle-ci m'impressionne et m'interpelle sur la vie des cactées, et les animaux qui les entourent, qui ont autant d'importance. Le but était moins commercial que didactique et comme je l'ai dit sur le forum de cactuspro :
Pour la petite histoire, pour bien repérer le tome 1 (A-L) du tome 2 (M-Z), j'ai choisi la photo d'un disperseur de graines de cactus (Jasminocereus entre autres), la Tortue des Galapagos (photo Wilhem Barthlott), soit le côté primitif de la chose pour le premier tome.
Pour le tome 2, j'ai privilégié la modernité, avec un genre de cactus récent, issu de l'évolution réticulée, Pierrebraunia, pollinisé par un colibri (photo Eddie Esteves Pereira).
Et je trouve cette image admirable, avec un petit côté préhistorique qui me plait bien.
Bien sûr, ni les couvertures, ni le contenu ne pourront plaire à tout le monde, mais le plus important est qu'avec ce matériel très complet, vous puissiez identifier et classer vos plantes plus aisément, et surtout, en connaissance de cause, ce que l'on avait jamais fait auparavant. Alors là, je serai vraiment heureux !
Bonne soirée !
Joël Lodé
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Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
bonjour joel
bravo pour cette étude des cactacées en deux volumes et en français s'il vous plait !!!!!!!
au cours de tes déplacements Est-ce que tu as pu constater :
une raréfaction de certaines espèces dans leur milieu naturel ?
un changement du climat ?
une intervention de l'homme désastreuse ?
merci des précisions que tu pourras nous apporter .
bien cordialement , olivier .
bravo pour cette étude des cactacées en deux volumes et en français s'il vous plait !!!!!!!
au cours de tes déplacements Est-ce que tu as pu constater :
une raréfaction de certaines espèces dans leur milieu naturel ?
un changement du climat ?
une intervention de l'homme désastreuse ?
merci des précisions que tu pourras nous apporter .
bien cordialement , olivier .
Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Bonjour Olivier,
tu me demandes :
au cours de tes déplacements Est-ce que tu as pu constater :
une raréfaction de certaines espèces dans leur milieu naturel ?
Pour certaines espèces, oui, mais pas forcément celles auxquelles on s'attend, car on ne connaît jamais vraiment toutes les locations pour une espèce donnée. Par exemple, en général, les Ariocarpus ne sont pas rares, et sont bien distribués. Par contre, certains grands cierges sont menacés à moyen terme, car ils ne se reproduisent que très peu, comme Backebergia militaris. Certaines espèces d'Eulychnia et d'Islaya se réduisent également au Chili, Il est connu que les populations de Turbinicarpus sont menacées par les collectes abusives (et illégales !), mais là encore, je dois avouer que les plantes se sauvent de cette menace par leur propension à produire beaucoup de graines qui germent facilement, dans des endroits où les plantes sont peu visibles, donc, si la pression n'est pas trop importante, elles peuvent se régénérer et des populations réapparaissent. Cela ne nous donne pas le droit de les détruire !
Les causes peuvent également naturelles, comme les insectes qui pondent leurs oeufs dans les Sclerocactus, et dont les larves peuvent faire disparaître toute une population. Les graines tombées au sol, les plantes juvéniles non attaquées, permettront la régénération de la population après plusieurs années.
On pourrait faire un livre sur ce sujet !
un changement du climat ?
Oui, il se remarque partout dans le monde, mais par exemple, je l'ai noté au Pérou, où le phénomène "El Niño" change le régime des précipitations, et donc la survie des Cactées, notamment sur les côtes. Également à Socotra, où les Dragonniers géants (Dracaena cinnabari) ne se reproduisent que peu ou prou, (mais ce n'est pas une cactée, et donc un autre sujet !
une intervention de l'homme désastreuse ?
Oui, oui, oui, et pour des tas de raisons : au Brésil par ex., déforestation, plantations de canne à sucre et de soja, donc "nettoyage des terres", incendies provoqués, exploitation minière, construction d'infrastructures routières...
Expansion démographique et donc urbanistique, au Mexique par ex., ou en Uruguay, avec destruction de sites.
Au Nevada, destruction d'une colline par un bulldozer, colline peuplée d'Echinomastus johnsonni var. lutescens...
Construction de route en Arizona, avec destruction de Ferocactus et Carnegiea !!!
Les collectes abusives, comme celle d'un collectionneur nord-américain qui a ramassé tous les Echinocereus lindsayi qu'il a trouvé ("pour les sauver" !), détruisant la seule population connue en Basse Californie (mais d'autres ont été heureusement retrouvées depuis).
Les cas sont malheureusement innombrables : heureusement, les cactus ont de la ressource !
Voici quelques-unes de mes photos sur ce sujet, en basse résolution.
tu me demandes :
au cours de tes déplacements Est-ce que tu as pu constater :
une raréfaction de certaines espèces dans leur milieu naturel ?
Pour certaines espèces, oui, mais pas forcément celles auxquelles on s'attend, car on ne connaît jamais vraiment toutes les locations pour une espèce donnée. Par exemple, en général, les Ariocarpus ne sont pas rares, et sont bien distribués. Par contre, certains grands cierges sont menacés à moyen terme, car ils ne se reproduisent que très peu, comme Backebergia militaris. Certaines espèces d'Eulychnia et d'Islaya se réduisent également au Chili, Il est connu que les populations de Turbinicarpus sont menacées par les collectes abusives (et illégales !), mais là encore, je dois avouer que les plantes se sauvent de cette menace par leur propension à produire beaucoup de graines qui germent facilement, dans des endroits où les plantes sont peu visibles, donc, si la pression n'est pas trop importante, elles peuvent se régénérer et des populations réapparaissent. Cela ne nous donne pas le droit de les détruire !
Les causes peuvent également naturelles, comme les insectes qui pondent leurs oeufs dans les Sclerocactus, et dont les larves peuvent faire disparaître toute une population. Les graines tombées au sol, les plantes juvéniles non attaquées, permettront la régénération de la population après plusieurs années.
On pourrait faire un livre sur ce sujet !
un changement du climat ?
Oui, il se remarque partout dans le monde, mais par exemple, je l'ai noté au Pérou, où le phénomène "El Niño" change le régime des précipitations, et donc la survie des Cactées, notamment sur les côtes. Également à Socotra, où les Dragonniers géants (Dracaena cinnabari) ne se reproduisent que peu ou prou, (mais ce n'est pas une cactée, et donc un autre sujet !
une intervention de l'homme désastreuse ?
Oui, oui, oui, et pour des tas de raisons : au Brésil par ex., déforestation, plantations de canne à sucre et de soja, donc "nettoyage des terres", incendies provoqués, exploitation minière, construction d'infrastructures routières...
Expansion démographique et donc urbanistique, au Mexique par ex., ou en Uruguay, avec destruction de sites.
Au Nevada, destruction d'une colline par un bulldozer, colline peuplée d'Echinomastus johnsonni var. lutescens...
Construction de route en Arizona, avec destruction de Ferocactus et Carnegiea !!!
Les collectes abusives, comme celle d'un collectionneur nord-américain qui a ramassé tous les Echinocereus lindsayi qu'il a trouvé ("pour les sauver" !), détruisant la seule population connue en Basse Californie (mais d'autres ont été heureusement retrouvées depuis).
Les cas sont malheureusement innombrables : heureusement, les cactus ont de la ressource !
Voici quelques-unes de mes photos sur ce sujet, en basse résolution.
- Fichiers joints
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- 'insecte.jpg (102.86 Kio) Vu 135 fois
-
- Ferocactus arraché pour construction de route, Az, CITES1 abandonnés après sauvetage, Mex.jpg (109.04 Kio) Vu 135 fois
-
- Feu dans le nordeste, Brésil, destruction de Discocactus.jpg (110.26 Kio) Vu 135 fois
Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Olivier, je me permets de m'incruster pour plussoyer le témoignage de Joël sur les dangers qui menacent les cactus dans leur habitat. Du moins pour ce que j'ai vu au Chili.
Le désert est souvent pris pour une poubelle:

J'ai vu une population de Neoporteria curvispina tuberisulcata en prendre un sacré coup car on a amené l'eau potable d'un village à un autre:

J'ai cherché en vain Neoporteria aspillagae dont l'habitat a été recouvert de forêts de sapins.
Et je remets de nouveau le lien vers une page de Facebook qui alerte sur la menace qui pèse sur une région où pousse Neoporteria chilensis (entre autres): Proteje Los Molles.
Il y a aussi une page pour défendre le Cajon de Pichi dans la Région métropolitaine: Salvemos el cajón de Pichi
Je peux aussi citer la mine de Pascua Lama dont l'implantation altère toute une vallée riche en cactées.
Mais aussi l'agriculture, j'ai vu des collines entières rasées au bull-doser pour planter des avocats ou des vignes.
Des plaines de maquis ratiboisées pour y planter des oliviers sur des champs d'éoliennes.
Il faut aussi parler de la collecte de plantes pour la vente directe, moyen de subsistance pour de pauvres gens. Ainsi j'ai vu à Vicuña une échoppe avec pignon sur rue proposant des Eriosyce aurata et des Neoporteria senilis:


Il parait que le meilleur moyen pour déterrer un aurata, c'est de le couvrir d'un vieux blue-jean, de le déraciner à coup de pompes et de le faire rouler dans la montagne jusqu'à la route en contrebas. C'est Juan Acosta qui m'a raconté cette pratique des braconniers.
Je pense que même les collecteurs de graines, dont je fais partie, n'aidons pas la nature. Certaines plantes vivent sur un territoire pas plus grand qu'un terrain de foot. Si passe un landrover plein de cactophiles allemands, puis un d'anglais, un autre de français, de tchèques etc...ce qui peut se produire dans la même année, avec en plus le manque de précipitations, je ne vois pas comment ces plantes peuvent se reproduire tranquillement. C'est pourquoi personnellement, je ne prélève que quelques fruits, j'en disperse d'autres et ne cherche pas à avoir une liste de numéros de collecte de 310 pages.
Eh oui, c'est un peu désespérant tout ça
Pour Joël, j'attends le début du mois prochain, je suis un peu à sec là tout de suite. j'espère que tu atteindras vite ton objectif pour que tout se passe bien. En tout cas, je t'ai fait de la pub chez les cactuseros chilenos sur FB et j'en vois déjà qui bavent
Le désert est souvent pris pour une poubelle:

J'ai vu une population de Neoporteria curvispina tuberisulcata en prendre un sacré coup car on a amené l'eau potable d'un village à un autre:

J'ai cherché en vain Neoporteria aspillagae dont l'habitat a été recouvert de forêts de sapins.
Et je remets de nouveau le lien vers une page de Facebook qui alerte sur la menace qui pèse sur une région où pousse Neoporteria chilensis (entre autres): Proteje Los Molles.
Il y a aussi une page pour défendre le Cajon de Pichi dans la Région métropolitaine: Salvemos el cajón de Pichi
Je peux aussi citer la mine de Pascua Lama dont l'implantation altère toute une vallée riche en cactées.
Mais aussi l'agriculture, j'ai vu des collines entières rasées au bull-doser pour planter des avocats ou des vignes.
Des plaines de maquis ratiboisées pour y planter des oliviers sur des champs d'éoliennes.
Il faut aussi parler de la collecte de plantes pour la vente directe, moyen de subsistance pour de pauvres gens. Ainsi j'ai vu à Vicuña une échoppe avec pignon sur rue proposant des Eriosyce aurata et des Neoporteria senilis:


Il parait que le meilleur moyen pour déterrer un aurata, c'est de le couvrir d'un vieux blue-jean, de le déraciner à coup de pompes et de le faire rouler dans la montagne jusqu'à la route en contrebas. C'est Juan Acosta qui m'a raconté cette pratique des braconniers.
Je pense que même les collecteurs de graines, dont je fais partie, n'aidons pas la nature. Certaines plantes vivent sur un territoire pas plus grand qu'un terrain de foot. Si passe un landrover plein de cactophiles allemands, puis un d'anglais, un autre de français, de tchèques etc...ce qui peut se produire dans la même année, avec en plus le manque de précipitations, je ne vois pas comment ces plantes peuvent se reproduire tranquillement. C'est pourquoi personnellement, je ne prélève que quelques fruits, j'en disperse d'autres et ne cherche pas à avoir une liste de numéros de collecte de 310 pages.
Eh oui, c'est un peu désespérant tout ça

Pour Joël, j'attends le début du mois prochain, je suis un peu à sec là tout de suite. j'espère que tu atteindras vite ton objectif pour que tout se passe bien. En tout cas, je t'ai fait de la pub chez les cactuseros chilenos sur FB et j'en vois déjà qui bavent

Re: Bientôt un nouveau livre : Taxonomie des Cactaceae en 2 volumes
Au fait, une petite question Joël. Pourquoi le livre est moins cher en espagnol qu'en français et anglais?
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